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1. Epochen der französischen Geschichte - S. 3

1880 - Nördlingen : Beck
I. Auflsung des frnkischen Reiches. 3 publics. Lodewig et Karle se reunirent Strasbourg avec leurs armees, dont l'une etait composee d'hommes de toutes les tribus teutoniques, l'autre de Gaulois septentrionaux, commandes par des seigneurs franks, et de meridionaux, sous des chefs indigenes. Afin de prouver au peuple que la guerre o ils etaient engages ne serait pas un jeu politique, les deux rois se jurerent mutuel-lement de maintenir, contre l'empereur, la Separation nationale, et de ne point faire de paix avec lui, au detriment l'un de l'autre. Lodewig, comme l'aine, prit le premier la parole en presence des deux armees, et prononga en langue tudesque le discours suivant1): 4. Vous savez combien de fois, depuis la mort de notre Rede lm-pere, Lother s'est efforce de poursuivre et de faire pe'rir moi wigs-et mon frre ici prsent. Puisque ni la fraternite, ni la ehre-tiente, ni aucun moyen, n'ont pu faire qu'il y et paix entre nous sans blesser la justice, contraints enfin, nous avons remis la chose au jugement de Dieu tout-puissant, afin que chacun de nous se contentt de ce que sa volonte lui attribuerait. Dans ce combat, comme vous le savez, et par la misericorde de Dieu, nous avons ete vainqueurs. Lui, vaincu, s'est refugie avec les siens o il a pu. Alors, emus d'amitie fraternelle et compatissant aux maux du peuple chretien, nous n'avons pas voulu les poursuivre et les detruire1); mais, de meme qu' auparavant, nous avons demande que chacun ft assure dans ses justes droits. Nean-moins, n'acceptant point l'arret de Dieu, il ne "cesse de poursuivre main armee mon frre et moi: il desole notre peuple par des incendies, des rapines et des meurtres. C'est pourquoi, forces par la necessite, nous nous reunissons aujourd'hui; et parce que nous craignons que vous ne doutiez de la sincerite de notre foi et de la solidite de notre union fraternelle, nous avons resolu de nous preter serment l'un l'autre en votre presence. Ce n'est point une ambition in just e qui nous fait agir ainsi: mais nous voulons, si Dieu, par votre aide, nous donne enfin le repos, que l'avantage commun soit garanti. Si jamais, ce qu' Dieu 3. i) Diese Rede wie die folgenden Eidesformeln und die Botschaft Lothars aus dem Bericht v. Nithard, Enkel Karls d. Gr. Er beschreibt die Kriege zw. Ludwigs Shnen bis zum Ende des J. 842. Gest. 858. 4. *) Nach der Schlacht bei Fontenaille begruben die Sieger die Gefallenen u. bfsten auf das Geheifs der Bischfe durch dreitgiges Fasten den Zorn, Hafs u. andere Leidenschaft, durch welche manche in diesem Kampfe sich hatten hinreifsen lassen. Eine Verfolgung des Feindes fand nicht statt. 1*

2. Epochen der französischen Geschichte - S. 11

1880 - Nördlingen : Beck
Il Ansiedlung der Normannen in Frankreich. 11 qui, dix ans plus tard, assiegerent Paris1); et comme les hauts-faits des Normands ne nous sont racontes que par leurs enne-mis, ceux-ci n'ont pas pris la peius de nous faire connaitre les progres du jeune guerrier. Rollon, comme Sigfrid, Godfrid et Hastings, portait alternativement ses armes devastatrices dans la Neustrie2), 1'Aquitaine, la Lorraine et l'angleterre, et les mal-heureux qui le voyaient arriver sur leurs ctes, savaient rarement o il avait ete auparavant, o il irait ensuite. Mais Rollon s'etait entin eleve au premier rang entre ses compatriotes, lorsqu' en 911 il ramena d'angleterre une armee nombreuse de Normands avec laquelle il remonta la Seine et yint mettre le siege devant Paris, en meme temps que d'autres chefs, qui semblaient reconnaitre son autorite, s'avangaient, les uns par la Loire, les autres par la Garonne, et repandaient la terreur dans toutes les provinces occidentales. 3. L'attaque de Rollon fut suspendue pendant trois mois, Verwstung par une treve que lui demanda Charles-le-Simple; mais quandfrankreichs f, , 1 , x durch die il repnt les armes, ce fut pour pousser plus lom ses ravages. Nonm,nnen. Un corps de troupes qu'il avait detache de sa principale armee, Bonos Nieapres avoir remonte l'yonne, parvint jusqu'aux bords de la deriage bei Sane, devasta la plus grande partie de la Bourgogne, et son Cbartrcs-retour, apres s'etre reuni Rollon, vint mettre le siege devant Chartres. Richard, qu'on a surnomme le Justicier, duc de Bourgogne1), ayant rassemble quelques troupes, et remporte Ar-genteuil2) un avantage sur un parti de Normands, vint se reunir Robert, frere du roi Eudes, qui lui avait succede dans le comte de Paris, et qui prenait alors le titre de duc de France3). Les deux ducs attaquerent les Normands pres de Chartres, rem-porterent sur eux une petite victoire qu'on fit sonner bien haut, et les forcerent lever le siege. 2. 3) Die Belagerung, unter Sigfrid, dauerte ein volles Jahr, 885886. Karl d. Dicke, der mit einem Heere heranzog, bewog die Norm, durch eine Geldsumme, wieder abzuziehen. 2j Dasselbe, was France romane. S% oben. 3. 2) Richard, 877921, Bruder Bosos v. Niederburgund. Das Herzogtum Burgund, Teil des alten burgund. Reiches, durch den Vertrag v. Yerdun mit Frankreich verbunden; zwischen Saone u. Loire bis in die Gegend von Avalion u. Chatillon sich erstreckend. 2) An der Seine, unterhalb St. Denis. 3) Robert d. Tapfere, Graf v. Anjou, fiel 866 im Kampf gegen die Normannen. Sein lterer Sohn Odo (Eudes), Graf v. Paris u. Herzog v. Francien, der heldenmtige Verteidiger v. Paris 88586, bei der Minderjhrigkeit Karls des Einf. 888 z. König gewhlt, gest. 898. Dessen Bruder Robert, Herz. v. Francien, 922 gegen Karl d. Einf. zum König gewhlt, gest. 923. Roberts Enkel ist Hugo Capet.

3. Epochen der französischen Geschichte - S. 16

1880 - Nördlingen : Beck
16 Iii. Das Lehenswesen in Frankreich. chteaux qui couvraient la France. Aucune autorite n'etait re-connue distance, et chaque forteresse donnait son seigneur rang parmi les souverains. La conquete de l'angleterre par les Normands rompit l'6quilibre entre les seigneurs feodaux; un des princes confederes, devenu roi* en 10661), etendit graduellement sa domination sur une grande moitie de la France2), et quoique ce ne ft pas celui qui portait le titre de roi des Frangais, on put croire pendant un temps que le reste de la contree passerait egalement sous son joug. Philippe-Auguste3) et son fils, durant les quarante-six dernieres annees de la meme p6riode, reconqui-rent presque tous les liefs que les rois anglais avaient reunis, ramenerent les autres grands vassaux l'obeissance, et changerent la confederation feodale qui avait regi la France en une Monarchie qui incorpora le systeme feodale dans sa Constitution. Der Adel 2. Sous la premire race l), les seigneurs avaient rarement erlangt das fortifid leurs chteaux ou demande la permission de le faire, Recht, Bur- parce que les peuples germaniques conservaient encore leur haine fen zu pour les enceintes de murailles et leur mepris pour ceux qui bauen. r ri faisaient usage de quelque avantage dans le combat, ves per-missions avaient rarement ete accordees sous la seconde race2), aussi longtemps que les empereurs possederent assez d'autorit pour les refuser leur noblesse, dont ils se defiaient. Lorsque Louis-le-Begue3), aussi faible de sante et d'esprit que denue de credit, ne put plus resister aux usurpations des grands, des mains desquels il regut comme par grce la couronne de son pere, tout fut change dans les moeurs, les opinions, le systeme militaire de l'fitat; les riches proprietaires, en se fortifiant chez eux, songe-rent d'abord leur securite, bientt leur force; l'ambition prit dans leur coeur la place de la cupidite, la possession de vastes campagnes que jusqu'alors ils avaient considerees sous le seul rapport de leurs revenus, devint un moyen d'augmenter infiniment leur puissance; ils recommencerent distribuer leurs terres en lots nombreux, sous la condition du Service militaire. La per- 1. i) Wilhelm der Eroberer, bisher Herz. d. Normandie, reg. als König 106687. 2) Noch ungleicher wurden die Machtverhltnisse, als 1154 Graf Heinrich v. Anjou-Plantagenet, durch seine Mutter Mathilde Urenkel Wilh. des Erob., Kg. v. Engl, wurde. Denn 1152 hatte er durch seine Vermhlung mit Eleonore, Grfin v. Poitou und Guienne (Aquitanien), den S.w. Frankreichs erworben. s) 11801223. Sein S. Ludwig Viii., 122326. 2. !) Merowinger 486752. - 2) Karolinger 752987. _ 8) Ludw. d. Stammler, Sohn Karls d. Kahlen, 87779. Bei seiner Krnung mufste er versprechen, sich König durch die Barmherzigkeit

4. Epochen der französischen Geschichte - S. 24

1880 - Nördlingen : Beck
24 m. Das Lehenswesen in Frankreich. La loi admettait, il est vrai, le combat pour les roturiers2), avec des armes ignobles; mais on n'y avait guere recours que pour le divertissement des seigneurs et des nobles dames des chteaux, afin de leur procurer un passe-temps selon leur got. Der Dyna- 12. L'orgauisation feodale d'une republique de gentilshom-atiewechsei meg s'etait formee independamment de l'autorite royale, et saus von 987 . , , . , , , , . seine Be- son aveu> pendant que la seconde brauche des Carlvmgiens lut-deutung. tait avec tous ses sujets pour sauver son existence meme. Char-les-le-Simple, par son incapacite, avait laisse aneantir le pouvoir entre ses mains; ses successeurs avaient vainement combattu pour le reconquerir, ils ne pouvaient se reconcilier leur nouvelle Situation, ils manquaient de force pour en sortir; mais on devait s'attendre, tant qu'ils existeraient, ce qu'ils renouvelassent la lutte. Ii y avait eu une Evolution dans l'titat, et pour conso-lider cette revolution, la dynastie devait etre changee; eile le fut en 987. Le monarque, au lieu d'etre plus long-temps le repre-sentant du pouvoir national des premiers conquerants, au lieu d'elever des pretentions toute la puissance qu'avait exercee Charlemagne, d'invoquer des lois qui n'existaient plus, et de re-fuser de reconnaitre les droits nouveaux que la force avait con-quis, fut un seigneur d'entre les nouveaux seigneurs, un feuda-taire eleve comme les feudataires, par le pouvoir que lui confe-raient ses vassaux, les comtes, les barons, les Chevaliers engages par leur foi et leur hommage le servir. Hugues Capet, en montant sur le trne, devint ainsi le complement de la revolution feodale; il n'avait ni le genie qui aurait pu en jeter les bases, ni la force d'esprit ou de caractere qui aurait pu la diriger: il fut peu de chose par lui-meme; mais tout depourvu de talent et de grandeur que paraisse avoir 6te ce fondateur d'une dynastie nouvelle, il valait mieux, pour le regime qui commengait, que la fa-mille ancienne des rois. Hugo capet 13- Hugues Capet1) etait duc de France, comte de Paris wird Kniget d'orleans, et abbe de plusieurs riches monasteres. A ces v. Frank- titres divers, un nombre considerable de seigneurs relevait de lui. reich, n eut l'appui du duc de Bourgogne2), son frre, et du duc de Normandie3), son beau-frere: et c'est ainsi qu'il forma l'assemblee ses v. villa, Landhaus, Bauernhaus. 2) Von roture, mlat. ruptura, kleines Gut, Bauerngut; roturier, Besitzer eines solchen Gutes, gemeiner Mann im Ggs. zum Edelmann. 13. i) Herzog seit 960. König 987996. Sein Vater war Hugo d. Große, Herz. v. Francien, gest. 956, Vgl. H, 3, 3. Capet, wahrscheinlich von cappatus, da Hugo als Laienabt das geistliche Kleid (capa, nfr. chape, Mantel) trug. 2) Vgl. 5, 9. 3) Vgl. 5, 10.

5. Epochen der französischen Geschichte - S. 1

1880 - Nördlingen : Beck
I. Auflsung des frnkischen Reiches. (Augustin Thierry, Lettres sur l'histoire de France.) 1. Des le commencement des guerres civiles entre l'em- Nationaler pereur Lodewigx) et ses enfants, guerres o le pere et les fils Gegensatz etaient pousses leur insu par des mouvements nationaux, une ^Tuna grande divergence d'opinion politique se laisse apercevoir entre ostfranken. les Franks vivant au milieu de la population gauloise, et ceux qui sont demeures sur l'ancien territoire germanique. Les Premiers, railies, malgre leur descendance, l'interet du peuple vaincu par leurs ancetres, prirent en general parti contre l'em-pereur, c'est--dire contre l'empire, qui etait, pour les Gaulois indigenes, un gouvernement de conquete. Les autres s'unirent, dans le parti contraire, avec toutes les peuplades tudesques, meine anciennement ennemies des Franks. Ainsi tous les peuples teutons, figues en apparence pour les droits d'un seul komme, defendaient leur cause nationale, en soutenant, contre les Gallo-Franks et les Welskes2), une puissance qui etait le resultat des victoires germaniques.3). Selon le temoignage d'un con-temporain, l'empereur Lodewig se defiait des Gallo-Franks, et n'avait de confiance que dans les Germains. Lorsqu'en l'annee 830 les partisans de la reconciliation entre le pere et les fils proposerent, comme moyen d'y parvenir, une assemblee generale, les malintentionnes travaillerent pour que cette assemblee et lieu dans une ville de la France romane. Mais l'empereur, dit le 1. 2) Kais. Ludw. d. Fromme 814840. Seine Shne: Lothar, Pipin, Ludw. d. Deutsche; aus zweiter Ehe: Karl d. Kahle. 2) Welsehe, die romanisch redenden Bewohner im Ggs. zu den eingewanderten Germanen; ahd. Adj. walah-isc, Subst. walali, vom lat. gallicus. 3) Entscheidend der Sieg Pipins v. Landen 687 bei Testri unweit St. Quentin; durch denselben wurde Pipin Hausmeier des gesamten Frankenreiches. 1

6. Epochen der französischen Geschichte - S. 2

1880 - Nördlingen : Beck
2 I. Auflsung des frnkischen Reiches. meme historien, n'etait pas de cet avis; et il obtint, selon ses desirs, que le peuple ft convoque Nimegue: toute la Germanie s'y rendit en grande affluence, afin de lui preter secours." Ost-u.west- 2. Peu de temps apres, la Germanie elle-meme, jusqu' franken aiors si fidele k 1'empire, separa sa cause nationale de Celle des 8e8lothafsern0uveaux csars- Lorsque Lodewig, en mourant, eut laisse la de-mination franke partag6e entre ses trois1) fils Lother, Lodewig et Karle2), quoique le premier eut le titre d'empereur, les nations teutoniques s'attacherent davantage au second qui n'etait que roi. Bientt la question de la preeminence de 1'empire sur les 84i. royaumes se debattit main armee entre les freres; et des le commencement de la guerre, les Franks orientaux, les Alamans, les Saxons et les Thuringiens prirent parti contre le Keisar.3) Reduit en fait au gouvernement de l'italie, de l'helvetie, de la Provence et d'une petite portion de la Gaule-Belgique4), l'empereur Lother eut aussi peu de partisans sur les bords du Rhin et de l'elbe, que sur ceux de la Seine et de la Loire. Sachez, mandait-il ses freres qui le priaient de les laisser en paix, chacun dans son royaume, sachez que le titre d'empereur m'a ete donne par une autorite superieure, et considerez quelle tendue de pouvoir et quelle magnificence doivent accompagner un pareil titre." Cette reponse altiere 6tait, proprement parier, un manifeste contre l'independance nationale dont les peuples sentaient le besoin; ils y repondirent d'une maniere terrible par 84i. cette fameuse bataille de Fontanet5), pres d'auxerre, o les fils des Welskes et des Teutskes6) combattirent sous les memes drapeaux, pour le renversement du systme politique fonde par Karle-le-Grand. Ludwig der 3. Cette alliance formee entre deux grandes masses d'hom-Deutsche u.mes, qui, par une circonstance bizarre, ne s'unissaient momen-Karid.kahietail^ment qu'afin a'etre l'avenir separes d'une maniere plus Bntoife b^complete, fut confirmee l'annee suivante (842) par des serments Strafsburg. 2. i) Der zweite Sohn, Pipin, war 839 gest. 2) Den germanischen Namen gibt Thierry auch die germanische Form; vgl. unten: Karle-le-Grand st, Charlemagne; Keisar; Welskesteutskes. 3) Die ahd. Form, genauer: cheisar. 4) Auf der Reichs Versammlung zu Worms, 839, hatte Ludwig d. Fr. das ganze Reich in zwei Teile geteilt: Maas, Sane und Rhone bildeten die Grenzlinie; alles Gebiet im W. derselben erhielt Karl d. Kahle, den grfseren Teil im 0., aber mit Ausschluls Bayerns, erhielt Lothar. _ Ludwig d. Deutsche, der auf Bayern beschrnkt worden war, dehnte jedoch seine Herrschaft bis an den Rhein aus. 5) Jetzt Fontenaille. ) Ahd. diutisc. Der Diphthong eu erst im Nhd. Frz. tudesgiie vom lat.-frnkischen theotiscus.

7. Epochen der französischen Geschichte - S. 8

1880 - Nördlingen : Beck
8 I. Auflsung des frnkischen Reiches. conquetes et reconnu leur chef comme roi, en leur envoyant de son tresor le sceptre et la couronne2). Apres les Bretons, ce furent les Aquitains3), ou gens de la langue romane meridionale, qui s'insurgerent et travaillerent se detacher de la nouvelle France aussi eompletement qu'ils l'etaient de l'ancienne. D'un autre cte, les Provengaux4), distingues aussi, par leur dialecte, des nations qui habitaient au-del des Alpes, se rvolterent dans le meme but contre le roi Lother et ses enfants5). Les villes de Toulouse et de Vienne, qui etaient le principal foyer de ce nou-veau mouvement national, furent plus d'une fois assiegees, prises et reprises tour tour par les arm6es des rois et les partisans de l'insurrection. Enfin, l'annee 888, api-es quarante-cinq ans de nouvelles guerres, qui, dans leurs scenes variees et confuses, presenterent plus d'une fois les Gaulois meridionaux ligues avec la puissance des Germains contre celle des Gaulois du nord, ar-riva le demembrement final auquel tout avait tendu depuis la mort de Karle-le-Grand. Frankreich 10 L'italie, separee de ses anciens annexes, et bornee sechsetichepar *a c^a^ne ^es Alpes, devint un royaume part que se dis-puterent des pretendants de race germanique1), mais naturalises Italiens depuis plusieurs gene'rations. Tout le pays compris entre les Alpes, le Jura et les sources du Rhin, forma, sous le nom de Burgondie ou Bourgogne superieure2), un nouveau royaume, dont la capitale etait Geneve, et dont les chefs se faisaient cou-ronner au couvent de Saint-Maurice en Valais. Un troisieme royaume, sous le nom de Bourgogne inferieure ou cisjurane3), eut pour limites le Jura, la Mediterranee et le Rhone. Un roi wird von mehr als einer Million Menschen gesprochen. 2) Dies war 868, als König Salomo die Bekmpfung der Normannen an der Loire bernahm. 3) zw. Loire u. Garonne. Aquitani, iberischer Volksstamm; Aquitania, rm. Prov., seit d. 5. Jahrh. Teil des westgoth. Reiches, von Chlodwig unterworfen, jedoch immer in loser Verbindung mit dem frnk. Reiche. Nach dem Vertrage v. Verdun behauptete sich dort Pipin Ii., Enkel Ludwigs d. Fr., gegen Karl d. Kahlen. 4) Die Provenzalen, hier von Nordfranzosen u. Aquitaniern unterschieden, sind nicht blofs die Bewohner der Provence, sondern des ganzen Rhonegebiets. 5) Lothars Shne: Ludwig Ii., König v. Italien, gest. 875; Lothar Ii, König v. Lothringen (im engern Sinn), gest. 869; Karl, König v. Provence (im weitern Sinn), gest. 863. Nach dem Tode der beiden letzteren fiel im Vertrag zu Mersen 870 ihr Reich teils an Karl den Kahlen, teils an Ludwig den Deutschen. 10. i) Guido v. Spoleto u. Berengar v. Friaul. 2) Der erste König v. Hochburgund ist Rudolf, 888 in St. Moriz gekrnt. 8) Gegrndet v. Boso, Graf v. Vienne. der 879 von den Bischfen und

8. Epochen der französischen Geschichte - S. 10

1880 - Nördlingen : Beck
Iq Il Ansiedlung der Normannen in Frankreich Ii. Ansiedlung der Normannen in Frankreich. (Simonde de Sismondi, Histoire des Frangais.) zorsplitte- 1 Au commencement du dixieme siecle, Charles-le-Simple1) rung und regnait dans les provinces qu'on nommait la France romane 2); schwche Alain-le-Grand1), dans la Bretagne; Louis Iv.1), dans la Lor-Fraiikreichs.raine unje ^ ja Gcrmanie; Louis-l'aveugle1), dans la Provence, et Rodolphe1), dans la Bourgogne transjurane; tous les cinq por-taient le titre de rois, tandis que beaucoup de seigneurs aussi puissants qu'eux, mais qui s'intitulaient seulement ducs ou com-tes, gouvernaient d'autres provinces. Cependant cette division meme avait tellement affaibli la France, qu'on la comptait peine parmi les puissances dont les volontes influaient sur le sort de l'europe; et Liutprand, eveque de Cremone3), faisant, au commencement de son histoire, Venumeration des princes qui gouvernaient la chretiente, ne nomme pas meme les rois des Francis. Mais dans cette partie de la France romane, la plus epui-see par de longues calamites, la plus affaiblie, la plus oubliee par les historiens, s'accomplissait alors une revolution importante qu'un siecle de desastres4) avait rendue necessaire; cetait leta-blissement des Normands ou Danois dans la contree qu'ils avaient si longtemps ravag6e. Eono 2. Parmi les chefs des Normands, l'un des plus redoutes kommt mit gtait Rollon. Si l'on peut en croire une chronique d Angouleme, einem Heer Rollon yint pour premiere fois en France, des l'an 876; mais laldherber.^1 cst difficile de suivre ses pas au milieu des armees de ses compatriotes. Son nom ne se trouve point parmi ceux des chefs 1. ]) Karl d. Einfltige, Enkel Karls des Kahlen, König 898 bis 929. Alan d. Gr., gest. 907. Ludwig Iv., das Kind, gest. 911. -Ludwig d. Blinde, Sohn Bosos, durch seine Mutter Irmengard Urenkel Lothars I., König v. Niederburgund u. Italien, v. dem Gegenkomg Berengar in Verona berfallen und geblendet, gest. 923. Budolt, Grnder d. Beiches Hochburgund, gest. 912. 2) Das Flufsgebiet der Seine u. der nrdliche Teil des mittleren und unteren Loiregebietes. ) Liutprand v Pavia, Geheimschreiber des Knigs Berengar Ii. v. Italien, dann im Dienste König Ottos I., zuletzt Bischof v. Cremona schrieb die Gesch. seiner Zeit von c. 890-948. - 4) Die Nonnannen (Manner des Nordens), aus Skandinavien u. Dnemark kommend, plnderten F rankreich schon unter Ludwig dem Frommen, des. aber in der 2. Haltte des 9. Jahrh. Die großen Flsse hinauffahrend, _ verwsteten sie das umliegende Land u. brandschatzten die Städte, wie Bnen, Fans, Ur- lans, Bordeaux.

9. Epochen der französischen Geschichte - S. 128

1880 - Nördlingen : Beck
128 Xii. Heinrichs Iv. Einzug in Paris. les Wallons4) etablis au Temple5). Priv6s de communication et effrayes par ce flot montant de troupes et de bourgeois arm6s, les etrangers n'oserent bouger, et' se tinrent coi dans leurs corps de gar de, attendant les e venera ents avec le flegme castillan, proche parent du fatalisme musulman. C'est donc sans coup ferir que la rue Saint-Denis fut emplo^ee la fois former, d'un cte, barriere aux mouvements de la garnison etrangere, et de l'autre, reservoir aux troupes chargees de repandre jus que dans les plus petits canaux cette circulation irresistible du flot royaliste. Quand Vitry arriva au Grand-Chtelet6), il s'y reneontra avec les garnisons de Corbeil et de Melun, parties du quartier de Saint-Paul; elles s'etaient, de concert avec les bourgeois, ren-dues maitresses de toute la partie de la ville riveraine de la Seine, depuis 1'Arsenal jusqu'au Chtelet. Une autre division des royaux occupait dej cette forteresse. L'invasion et l'occupation progressive de la Cit6 et du Palais7) eurent lieu d'apres les meines principes, et sans autre incident que quelques rares et vains episodes de rsistance. Besetzung 5. Nous revenons la partie de l'invasion qui d6bouchait, des westi. par la Porte-Neuve, l'occident de la ville, parce que c'est la Teils der que n0us allons retrouver le roi. Le premier corps, commande stadt- par Saint-Luc, poussa ses eclaireurs jusqu'au carrefour de la Croix-du-Trahoir*), vers le milieu de la rue Saint-Honore. D'hu-raires, du Holet, de Belin, le prisonnier d'arques2), le gouverneur revoque par Mayenne3), devenu un des plus devoues serviteurs d'henri Iv, avaient ordre, avec une deuxime division, de marcher vers le pont Saint-Michel et de l'occuper, pour couper toute communication entre les Napolitains etablis au faubourg Saint- 5) Die Templerburg, Eigentum des 1118 in Palstina gestifteten Templerordens, nach dessen Aufhebung im Jahr 1312 im Besitz der Johanniter, bildete ein eigenes Quartier mit Asylrecht, der welches dem Grofsmeister eine besondere Jurisdiktion zustand. Der Turm derselben, im Anfang des 13. Jahrh. gebaut, war der Aufenthalt Ludwigs Xvi. u. seiner Familie 179293. Er wurde 1811 niedergerissen. - ) Vgl. X, 9, 5. - ') Vgl. Vi, 8, 2. 5. ') Auch croix du Tiroir genannt. An dieser Stelle soll Brunhilde, Gemahlin des Knigs Siegbert I. (gest. 576) von Austrasien, auf Befehl Chlotars Ii. 613 von einem wilden Pferde zu Tode geschleift worden sein. 2) Arques, Dorf sdstl. v. Dieppe in der Normandie. Heinrich Iv. hatte im Herbst 1589 daselbst eine feste Stellung genommen, in welcher ihn Karl v. Mayenne wiederholt, aber vergebens angriff. Bei einem dieser Angriffe, am 21. Sept., wurde Belin von den Kniglichen gefangen genommen. s) Vgl. 3, 4.

10. Bilder aus der vaterländischen Geschichte - S. 68

1893 - Dresden : Ehlermann
68 Nachdem sie nun alles mit einander verabredet hatten, kehrte Ganelon zum König Karl zurück und gab ihm die Schätze, welche die maurischen Könige ihrem Oberherrn darbrachten, und sagte auch dem Könige, daß Marsilies (Lhnst werden wolle und sich schon vorbereite, ins Frankenreich zu Karl zu gehen, um dort bei diesem die Taufe zu empfangen. Karl Ichenkte den Worten Ganelons Glauben; er brach von Pampelona mit fernem Heere aus und schickte sich an, die Pässe der Pyrenäen zu Über-ftelgen. Ganelon aber gab ihm den Rat, er solle seinem Neffen Roland und dem Grafen Oliver den Nachtrab übergeben; diese sollten mit 20 000 ©tmtern im Thale Ronceval Wacht halten, bis Karl und das ganze Frankenheer wohlbehalten hinübergekommen sei. So geschah es- Während Karl mit Ganelon und dem Erzbischof Turpin und vielen Tausenden der christlichen Streiter die Pässe überstieg, hielten Roland und Oltoer mit ihren 20 000 Kriegern treue Wacht. Aber auf Ganelons Rat hatten Marsilies und Beligand heimlich in der Nähe 50000 Streiter aufgestellt und diese zwei Tage und zwei Nächte verborgen gehalten In der Frühe eines Morgens griffen diese nun plötzlich die Franken an. Sie machten zwei Heerhaufen, den einen von 20 000, den anderen von 30 000 Krtegern, und während der größere noch zurückblieb, stürmte der kleinere sogleich auf die Franken vom Rücken her ein. Diese aber wandten sich und kämpften so tapfer, daß nach drei Stunden auch nicht ein einziger von den 20 000 Mauren noch ant Leben war. Aber unterdessen waren auch die andern herangekommen, und die schon ermatteten Franken mußten noch einmal gegen ganz frische Truppen kämpfen. Da erlagen sie alle, vom Größten bis zum Geringsten, einige durch den Speer, andere durch das Schwert, andere durch die Streitaxt und wiederum andere durch Pfeile und Wurfspieße. Manche wurden auch lebendig gefangen und auf grausame Weise getötet. Daraus zogen sich die Mauren zurück. 2. Rolands Heldenmut. Roland aber war noch nicht gefallen, sondern als die Heiden abzogen, kehrte er zurück und forschte, wie es mit den Seinen stände. Da erblickte er einen Mauren, der kampfesmüde sich in den Wald zurückgezogen hatte und dort ausruhte. Sogleich ergriff ihn Roland lebendig und band ihn mit vier starken Stricken an einen Baum. Dann stieg er auf eine Anhöhe, um sich nach den Feinden umzusehen. Da erkannte er nun, daß ihrer noch viele in der Nähe waren. Deshalb stieß er in sein gewaltiges Horn Olifant, um die Franken zu rufen, welche etwa noch leben und sich verloren haben möchten. Weithin dröhnte das Horn durch die Thäler, und ungefähr hundert versammelten sich um ihn, mit denen er wieder in das Thal Ronceoal hinabstieg. Als er nun zu dem Mauren kam, den er vorher gefesselt hatte, band er ihn los, erhob die entblößte Klinge seines Schwertes über sein Haupt
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TM Hauptwörter (200)200

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